Suite à quelques remarques, ma foi tout à fait justifiées, je me suis remis à l'ouvrage pour mettre à jour cette petite page sans prétention.

J'avais dans l'idée, il y a longtemps de vous conter mes boires et déboires femellistiques ici même, mais... L'âge et la maturité... Mouarf arf arf ! Noooon. Mais le temps et quelques amis et inconnus m'ont fait comprendre que ça ne servait à rien et que ce que j'avais mis en place jusqu'à maintenant n'était qu'assez peu drôle voir même à la limite du nazz.

Alors, je vais essayer d'improviser autre chose. Une sorte de mode d'emploi des femmes modernes à l'usage d'une catégorie d'homme élevé par des femmes et qui n'a pas forcément envie de s'encombrer d'une autre ? Encore une fois, je ne pense pas que mes maigres expériences et surtout mon cerveau hyper-atrophié par l'abus de Rock 'n Roll, de boissons alcoolisées, de tabac et de séries télévisées, puisse me permettre le recul et la profondeur de réflexion nécessaire à ce genre de prose. Mais soit. Je vais quand même m'y essayer. Ce sera à vous de me dire si j'y suis parvenu ou non.

Hors donc, je vais simplement exposer ici ma nouvelle théorie sur mes futures relations intimes avec les représentantes du soit disant "sexe faible". Théorie qui est très largement influancée par quelques unes de mes connaissances, je dois quand même l'avouer.
Et oui, je reste à peu près incapable de penser par moi même. Destin cruel. ;o)

Enfin bref… Mes dernières expériences m'apprenent qu'il ne sert à rien de viser trop haut et de tirer des plans sur une comète qui n'est pas encore en vue.
On m'a récemment fait comprendre que les relations homme-femme étaient en fait très simples. Tout le monde cherche la même chose. Un peu de confort et de sécurité, un peu de tendresse et de compagnie, la volonté de partager et d'échanger quelques moments d'intimité autant physique que mentale.

Tout paraît donc très simple. Et en effet, les débuts sont toujours très simples. Les vrais problèmes viennent ensuite. Quand l'une des deux parties se rend compte que la situation actuelle ne lui conviend pas vraiment et qu'elle aimerait passé au "stade" suivant de toute relation. L'engagement.

Non, encore une fois je vais trop vite. Ca a toujours été mon principal défaut... En français et philo au lycée bien sur. Je vois d'ici les mauvaises langues qui commençaient à sourire de problème dont je ne souffre pas encore. Bande d'affreux va !

Avant l'engagement, il y a LE test. Qui n'est pas un test en soit parce que jamais décidé consciemment. Mais il éxiste tout de même un cap qui nous fait nous rendre compte, ou en tout cas qui devrait nous faire nous rendre compte qu'une relation n'ira jamais plus loins qu'un simple badinage ou qu'au contraire, elle est prometteuse d'une histoire bien plus sympathique et intense.
Attention tout de même à ne surtout pas confondre l'envie, le besoin et la réalité. J'ai autrefois confondu. J'avais besoin d'une relation. J'ai tout fait pour me convaincre et je me suis planté. Il y a encore peu, j'avais envie d'une relation. La différence est déjà immense et m'a permis, premièrement, de ne pas reproduire le même scénarii que précédement et deuxièmement d'être en état de me rendre compte de la réalité sur ce que je vis.

Et là, reviend ce que me disaient certains en me parlant du fameux "Carpe diem". La grande rêgle à toute réussite semble être cette théorie du "Profite du jour présent". Rien ne sert d'essayer de voir trop loin. Rien ne sert d'essayer de faire compliquer. Rien ne sert de se prendre la tête, de toute façon, nous n'avons pas le pouvoir de faire que certaines choses n'arrivent pas. Si une relation doit devenir "sérieuse", elle le deviendra. Sinon, elle ne le sera jamais quoiqu'on puisse faire. Le seul moyen de ne pas perdre l'esprit à trouver quelque chose d'introuvable est de profiter du moment pour partager un bout d'aventure. Il faut simplement laisser le temps aux évènements de se produire.

Tout ce que j'aimerai ajouter maintenant c'est qu'il est peut être temps que je désacralise un peu les relations amoureuses et que j'envisage les relations physiques non plus comme "un prolongement de l'amour que l'on porte pour quelqu'un" mais plutôt comme un moyen de communication bien plus perfectionné et complet que la parole.
Après tout, la femme est un homme comme les autres et il faut que j'arrête de la monter sur un pied d'estal.

Vous me direz, et je vous donnerai raison je pense, que tout cela est bien facile à dire et qu'en plus, tout ce que je viens d'écrire n'est que du vent parce que complètement incompréhensible.
Oui, c'est vrai qu'il me faudra revenir sur ce que je viens d'écrire ici pour approfondir un peu les points sombres et flous.

Mais ceci est le travail d'un autre moment et pour l'instant, il me faut revisionner les dix saisons de Friends en VO non sous-titrée. C'est la seule façon correcte de la voir.

En attendant je voudrais rajouter un petit mot pour les jeunes et moins expérimentés d'entre nous.
TOUTE relation physique doit se faire avec protection !
Le préservatif (la capote) sert non seulement à éviter les grossesses accidentelles (efficasse à 97%), mais protège aussi des Maladies Sexuellement Transmissible (MST, telle que le SIDA, la Siphilice, l'Epathite...).
La pilulle est accessible à toute. Même aux mineures. Et dans ce cas, elle peut même être gratuite. Renseignez vous avant de faire des conneries.
Faire l'amour n'est pas une chose honteuse. Ne pas se protéger et mettre les deux acteurs en danger l'est en revanche.
Dernière petite chose. Ce n'est pas parce que vous êtes encore vierge à 13 ans qu'il faut absolument vous trouver quelqu'un pour corriger ça. Ce n'est pas une obligation. Ce n'est pas parce qu'on fait l'amour qu'on deviend un Homme ou une Femme. On reste un gamin de toute façon. Et contre ça, il n'y a que le temps qui puisse agir.
Voilà.

Allaye…



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