J'ai reçus celui ci par mail, je suis dans l'incapacité totale de donner mes sources.
- Nous avons donc pu constater qu'il n'y avait rien a constater.
- Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relacher faute d'avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
- L'homme a menacé l'adjudant que si on le prenait sur ce ton, lui aussi le prendrait sur ce ton.
- C'est la pluie qui empécha le brigadier de s'apercevoir qu'il s'était mis à neiger.
- Quand le contrevenant a crié : " Espèce de gros con ! " dans son dos, le brigadier de service a aussitôt cru se reconnaître et a verbalisé.
- L'homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s'entendre très bien avec elle.
- L'homme niant toute culpabilité, nous l'avons arreté...
- Le suspect s'est alors décidé a passer des aveux complets pour nous prouver qu'il n'était pour rien dans cette affaire.
- L'homme nous déclara qu'il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal.
- L'homme avait essayé de cacher l'arme dans ses bottes, malheureusement pour lui, il s'agissait d'un fusil dont la longueur dépassait.
- Le trou de balle était si gros que nous avons pu y mettre deux Doigts...
- L'animal n'a fait qu'une bouchée de la carrosserie du véhicule.
- L'homme a insisté pour nous présenter son préjudice qui ne mesurait en fait pas plus de dix centimètres...
- Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jesus et signa le formulaire d'une croix.
- Si nos gendarmes n'étaient pas intervenus, le viol n'aurait surement jamais eu lieu ...
- Pour finir, l'interpelé avoua le vol ainsi que quelques autres meurtres.
- Si l'appel n'a pas obtenu de réponse, c'est qu'il est parvenu au poste vendredi en fin de matinée alors que le permanent de service venait de partir se coucher comme tous les jours à la meme heure.
- Arrété par les gendarmes, le voleur les a menacés d'appeler la police.
- Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un avec l'autre exactement le même jour.
- En nous priant d'accepter ses excuses, l'homme nous affirma que ses injures étaient bien l'expression de sa pensée et que l'incident était donc clos.
- Malgre un taux d'alcoolémie de 3.8, le conducteur avait gardé toute sa lucidité pour écraser l'animal.
- Sous le coup de la colère, l'homme mangea une pomme en ricanant...
- C'est à l'intersection des deux routes que le mur a violemment heurté la voiture.
- Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
- Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.
- Le pendu est mort noyé.
- Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d'aliénés, il a été conduit à la gendarmerie.
- Ivre au milieu de la rue principale du village, l'homme nous a traité de "sales flics", ignorant que nous étions des gendarmes.
- La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes
- Sous couvert d'anonymat, tous ses crimes étaient signés
- La pauvre femme fut hospitalisée après avoir reçu les injures nécessaires
- Les deux trous de balle étaient parfaitement groupés ensemble
- La Gendarmerie n'étant pas encore un hôpital psychiatrique, nous avons dû renvoyer le malade chez lui
- Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile d'y obéir
- N'ayant pas pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement
- Le manouche habitait une caravane tirée par sa femme
- Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus
- Il était cloué sur son lit d'hôpital par deux coups de couteau au bras
- Soudain, la voiture recula pour mieux avancer
- L'infraction fut constatée par la brigade deux jours avant qu'elle ait lieu
- Nous avons été obligé de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur
- Sa tête étant fêlée, son sang coulait sur lui en vagues gigantesques
- Le mur avançait à grand pas vers le véhicule
- La disparition de l'enfant a été signalée par ses parents dès son retour
- Aveugle de naissance, la femme n'avait rien vu venir
- Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dû entrer
- La chasse étant fermée à cette époque, il l'ouvrit lui-même tout seul
- L'homme était assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa lucidité
- L'individu a réussi à sortir de ses menottes par la porte de derrière
- Avec un taux d'alcool de 3,2 g, le sang de l'homme était comme une bouteille
- Bizarrement, la collision entre les deux véhicules avait bien eu lieu au même endroit, ce qui attira notre attention
- Le conflit entre la police et la gendarmerie étant ce qu'il est, l'enquête ne put aboutir
- Le motif du vol était le meurtre
- la carrosserie était toute maculée de superbes rayures qui la rendaient pas belle à voir
- Jusqu'au bout, l'homme répondit aimablement à toutes les questions par un grand silence
- Le vélo déambulait seul avec une alcoolémie non autorisée
- Le forcené épaula son fusil de chasse et tua les pneus de la voiture à coups de chevrotines
- Le grave préjudice subi par le conducteur avait été estimé à : 0 Franc
- C'est en urinant que l'homme se blessa aux yeux
- Elle avait réussi à prouver qu'elle n'avait pas pu tuer son amant en se tuant juste avant lui
- N'ayant pas été reconnu coupable de cette agression, le suspect a été gardé en détention jusqu'à ce qu'il avoue son agression
- Comme d'habitude, le chien avait sauté sa maîtresse avant de divaguer
- Le susnommé refusa catégoriquement de nous dire son nom
- Agé de 92 ans, l'homme avait encore l'air d'un jeune adolescent